Mai 2022 : un monde en guerre ?
Le concept d'État profond est une vieille histoire. Je l'ai longtemps cru exclusivement américain, je l'imaginais comme le gouvernement occulte des États Unis or, même s'il est effectivement implanté dans ce pays, il existe en réalité à peu près partout. Il s'agit d'un groupement, d'une « élite » apatride ne défendant que leurs propres intérêts et cherchant à établir sa domination sur la plupart des États souverains. Cette domination est d'ailleurs en grande partie achevée puisque la souveraineté nationale est essentiellement de façade et nos démocraties illusoires.
Historiquement, cette mainmise a débuté avec l'établissement de la première banque centrale qui était en réalité une banque privée. Le prétexte d'alors était l'incapacité prétendue des États à gérer leur propre économie, les banquiers étant les mieux placés pour le faire au mieux, au mieux des intérêts des banquiers, cela va de soi. De nos jours, à quelques exceptions près, la plupart des pays du monde ont leur banque centrale aux mains de cette élite qui gère la création de leur monnaie et les dépouillant ainsi de leur souveraineté fondamentale.
Je m'étais longtemps demandé à qui les États devaient leur argent et d'où venait la dette dont on nous a rebattu les oreilles. Voilà la réponse ! L'État profond a créé un système économique qui leur est exclusivement favorable en dévoyant le concept premier de monnaie qui est un moyen d'échange et non pas une ressource que l'on peut accumuler et raréfier à son gré. Pour en arriver là, il leur aura fallu s'assurer de la complicité des gouvernements en place. L'argent corrompt et les élites n'en manquent pas…
Demeurées longtemps discrètes, voire secrètes, ces élites ont récemment accéléré leur agenda en se dévoilant au grand jour. C'est ce que nous avons vécu comme la « crise du co-vide » et des stratégies autoritaires et contraignantes qui en ont découlé. Basée sur un virus bénin vraisemblablement créé en laboratoire (certains pensent même que celui-ci n'existe pas) et attisée par la peur soutenue par des médias complices ou naïfs, cette crise s'est répandue dans le monde entier. On n'avait jamais participé à une expérience « d'ingénierie sociale » d'une telle ampleur. De nombreuses hypothèses ont été émises quant aux raisons d'une telle accélération qui mettait d'un seul coup l'État profond en pleine lumière (même si de nombreuses personnes n'y croient pas et préfèrent imaginer que nos dirigeants se soucient un tant soit peu de notre bien-être). La véritable cause semble être le revirement de la Chine dont une partie émergente du Parti Communiste a cessé de suivre les directives de l'élite dominante pour défendre ses intérêts nationaux. Peut-être que sans cela, le virus aurait été plus dangereux et les vaccins plus élaborés…
Cette élite prône depuis les années 70 une dépopulation (mot gentil pour ne pas dire génocide) de l'humanité et celle-ci semble être mise en œuvre sous nos yeux. En effet (même si cela reste à confirmer, mais seul le temps permettra de le faire et alors il sera bien tard), les effets secondaires des multiples « vaccins » sont alarmants, à la fois en nombre et en gravité. On en constate de toutes sortes, depuis des décès soudains de jeunes sportifs, par exemple, des douleurs musculaires chroniques, des fausses couches ou encore l'infertilité des jeunes femmes. Pour éviter que la population ne le remarque trop (cela reste une hypothèse de ma part) les fioles auraient été séparées en lots dont seuls certains d'entre eux étaient dangereux, de sorte que les conséquences sont « éparpillées ». Ainsi, nul ne connaît personnellement dans son entourage un grand nombre de personnes atteintes.
S'il semble que je m'éloigne de mon sujet premier, il n'en est rien…
Qui peut raisonnablement envisager de supprimer la plus grande partie de la population mondiale ?
Toute la question est là : sommes-nous prêts à croire cela ?
Depuis environ deux mois, l'Ukraine est en voie d'être « pacifiée » par une opération militaire de grande envergure menée par la Russie. À cette occasion, nous (la population occidentale) avons découvert que le gouvernement ukrainien a intégré au sein de son armée des unités pro-nazies. L'armée russe, malgré la lenteur de son avance due à son souci de minimiser les pertes dans la population civile, est en passe d'assainir l'ensemble du territoire. Son objectif premier de détruire les laboratoires de recherche américains semble avoir été rempli dès les premières semaines, elle s'est ensuite attachée à défendre dans l'est du pays (Donbass, Donetsk) les populations civiles contre l'armée ukrainienne et à évacuer ceux qui le pouvaient.
Pendant ce temps, les médias occidentaux s'en sont donnés à cœur joie pour accuser les troupes russes de toutes sortes d'atrocités à l'encontre des civils. On sait maintenant que toute cette campagne anti-russe est orchestrée par un service de propagande anglais (dont je ne me souviens plus du nom). Les Russes, de leur côté, ne s'amusent pas à de telles bassesses. En effet, ils pensent que les occidentaux ne croient que leurs propres médias. Leurs communications s'adressent donc uniquement aux peuples russe et ukrainien (dont une grande partie est russophone et pro-russe).
Les forces ukrainiennes bombardaient le Donbass depuis huit ans sans que personne en occident ne s'en émeuve (hormis les quelques personnes qui étaient au courant). Même la Russie n'intervenait pas militairement jusqu'au moment où une attaque sur le Donbass s'est révélée imminente. Elle est alors intervenue, apparemment en urgence. Cependant, cette opération semble à mon avis avoir été minutieusement préparée à l'avance et non pas réalisée dans l'urgence...
Vladimir Poutine a-t-il cédé à la pression de l'État profond qui voulait le pousser à la guerre ou bien les a-t-il pris à leur propre jeu ?
Les sanctions économiques contre la Russie se sont retournées contre les pays de l'Union Européenne. La Russie demande désormais que leur gaz soit payé en roubles et menace de « couper le robinet » aux pays qui ne s'y conformeraient pas. Non seulement, elle a réussi à améliorer son indépendance économique, énergétique et alimentaire, mais elle peut compter sur le soutien de son proche voisin, la Chine, des Brics, de l'Inde et de certains pays du Moyen-Orient, ce qui représente une grande partie de la population mondiale. Tandis que les médias occidentaux décrivent la Russie comme isolée sur la scène internationale, les faits le démentent catégoriquement. De fait, c'est plutôt l'U.E. qui se retrouve abandonnée par son suzerain (et créateur car elle en est l'émanation) lequel poursuit sa guerre contre la Russie par son intermédiaire. Malgré cela, l'Europe continue sa politique globaliste de mainmise sur ses populations.
Grâce à un « passe vaccinal » européen en voie d'élaboration, elle cherche à « persuader » (contraindre serait plus juste) 100 millions d'Européens de se faire vacciner contre ce même virus toujours aussi peu dangereux.
L'Europe est l'émanation directe du plan des globalistes consistant à priver les États la composant de leur souveraineté nationale. Il existe même différents projets de démembrer complètement les États historiques en en valorisant les régions au détriment de leur unité nationale. Ces projets sont menés entre autre par notre président de la république conjointement à la présidente de la commission européenne. Ils ne le font pas pour défendre leurs propres populations mais pour obéir aux directives de l'État profond et, en l'occurrence, aux intérêts américains.
La pénurie prévue et annoncée est à la fois une des conséquences de la « guerre » en Ukraine et organisée par les U.S. pour affaiblir l'Europe et la « vassaliser » encore un peu plus. De fait, même s'ils ne le savent pas tous, ceux qui luttent pour davantage d'Europe sont en train d'enterrer leur propre pays. Heureusement, certaines de ces nations se révèlent moins dociles et pourraient enrayer les plans des globalistes…
Nationalistes contre globalistes : c'est l'enjeu de la bataille qui se livre ici.
Aux États-Unis, le film « 2000 mules » est sorti en salles au début du mois de mai. Il montre que les élections présidentielles américaines ont été truquées et que le président Trump aurait dû garder son poste. Cela ne nous regarde pas directement, cela a néanmoins eu une incidence sur la situation en Ukraine, par exemple, puisque nous apprenons de source officielle que le Pentagone a armé l'Ukraine dès l'investiture de Biden. Preuve s'il en était besoin que, malgré les irrégularités constatées et amplement documentées depuis, les globalistes détiennent désormais le pouvoir aux U.S.A.
Donald Trump n'est certes pas resté inactif, il semble cependant avoir beaucoup de difficultés à faire valoir son « bon droit » puisqu'aucune juridiction américaine ne veut reconnaître la supercherie. On a prétendu que l'administration Trump avait délibérément laissé faire la fraude afin que celle-ci ne soit révélée au grand public. Il existerait un plan mûrement réfléchi destiné à contrer l'agenda globaliste. Qui peut savoir ?
Si plan il y a, il ne peut être que mondial puisque l'État profond s'est répandu dans la grande partie des pays et qu'il tient leur banque centrale. À l'heure actuelle, peu de nations ont réussi à se libérer de leur joug. Il semble que la Chine en fasse à présent partie…
Qui de Donald Trump ou de Joe Biden est le président légitime des États-Unis ?
Si la Chine a longtemps été un des bastions de l'État profond, elle a finalement changé de stratégie pour défendre ses propres intérêts patriotiques et retrouver ses valeurs ancestrales. Soutenu par une faction du parti communiste (lequel contrôle l'État), le président Xi Jinping conduit désormais une politique nationaliste. Ce revirement semble récent, au point que le « modèle chinois » à base de contrôle continu de la population et de crédit social s'exporte désormais au monde entier. Il s'agit en effet de ce que l'État profond cherche à imposer à tous. Il faut du temps pour éradiquer les éléments globalistes d'une administration aussi nombreuse d'un pays qui compte près d'un milliard et demi d'habitants. La Chine est certes un pays autoritaire, elle n'en reste pas moins un élément essentiel dans la lutte contre les globalistes.
Le confinement de Shangaï est-il un exercice grandeur nature essentiellement destiné à bloquer le port et par là même une grande partie de l'approvisionnement des occidentaux en matières premières et composants indispensables à l'industrie ?
Le confinement de Shangaï est-il une composante de la lutte économique de la Chine contre l'Occident ?
L'État profond cherche à imposer son agenda le plus vite possible tandis que les patriotes (ceux qui se voient aussi bien que ceux qui agissent dans l'ombre) tentent de les en empêcher. Comme dans les guerres anciennes, les populations sont les otages des belligérants. Comme autrefois, les femmes et les enfants (les innocents que nous sommes) assistent aux combats dont l'issue scellera leur sort : l'esclavage et la mort ou la liberté retrouvée…